Non non, mon IGF ne s'est pas fait la malle au pays des Röstis, du fromage, du chocolat et des banques...
Mais bon sang quelle est lente! Oui lente à redescendre de sa montagne...
Certes la chute entre Novembre (pré-op) et Février (3 mois post-op) fut vertigineuse (1300 à 357) mais là nous sommes en Mai et le taux est toujours à 349 alors que le tableau statistique voudrait un maximum de 247... Grrrr... à ce rythme il me faudra jusqu'en... voyons... 2016-2017 pour retrouver le taux indiqué...
Donc à la prochaine occasion je demanderai à l'endocrino s'il faut laisser l'IGF1 descendre à son rythme, si les 100 "de trop" représentent un danger pour moi, ou s'il ne faudrait pas tirer un peu sur le frein à main à coup de seringues pour lui faire comprendre que maintenant il faut qu'elle lâche l'affaire, que c'est fini, que ça ne sert à rien de s'acharner, son amie la tumeur est partie, il faut qu'elle fasse son deuil mon IGF1, elle est en total déni c'est dingue!
Enfin voilà! Sinon ce soir je vais faire de beaux rêves avec mon polygraphe collé tout contre moi à mesurer mes respirations pour détecter d'éventuelles apnées du sommeil!
